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tomtom le gamer 01/04/2019
Par une journée d’avril froide et claire, Winston Smith renonce à la cantine du Ministère de la Vérité où il travaille, pour regagner son domicile pendant la pause déjeuner. Un peu partout dans Londres, dominent les affiches géantes d’un homme d’environ 45 ans, à l’épaisse moustache noire, aux traits accentués et beaux. Une légende sous le portrait déclare : « Big Brother vous regarde ». L’ascenseur fonctionne rarement en raison des coupures de courant. A l’intérieur de l’appartement, une voix provient d’une plaque de métal incrustée dans le mur : le télécran. Le son peu être assourdi, mais le télécran ne peut être éteint complètement. L’appareil reçoit et transmet simultanément : à travers lui, Winston peut être aussi bien vu qu’entendu par la Police de la Pensée. Au loin derrière la fenêtre, à un kilomètre environ, s’élève le ministère de la Vérité, gigantesque immeuble pyramidal en béton blanc avec sur la façade, les trois slogans du parti : « La guerre c’est la paix », « La liberté c’est l’esclavage », « L’ignorance c’est la force ». En plus du ministère de la Vérité qui s’occupe des divertissements, de l’information, de l’éducation et des beaux-arts, trois autres bâtiments similaires sont répartis dans Londres. Le ministère de la Paix qui s’occupe de la guerre, le ministère de l’Amour qui veille au respect de la loi et de l’ordre et le ministère de l’Abondance chargé des affaires économiques. Leurs noms en novlangue : Miniver, Minipax, Miniamour et Miniplein. Une singularité de son appartement permet à Winston, en s’asseyant dans une alcôve, d’échapper au regard du télécran. Cette opportunité lui permet de commencer à rédiger son journal sur un livre ancien acheté dans une boutique du marché libre. Il note une date : 4 avril 1984. Après avoir commencé à écrire, Winston se remémore un événement intervenu le matin même pendant les Deux minutes de la Haine, l’exercice quotidien pendant lequel le visage d’Emmanuel Goldstein, ennemi juré de l’angsoc (le socialisme a
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tomtom le gamer 01/04/2019
Le génie du mixage Andrew Adamson revient tout juste après ses deux premiers volets de « Shrek ». Aux commandes de l’adaptation du roman éponyme de C.S. Lewis, il déterre une mythologie littéraire à franc succès en librairie. Pouvons-nous en dire autant sur grand écran ? Et bien il y a un début à tout et ce n’est pas pour déplaire. L’analogie à J.R.R. Tolkien peut surprendre, sachant qu’il fut très proche de Lewis. Il n’y a donc pas de divergence dans les bases religieuses qui les ont inspirées tous les deux. Cependant, Lewis parvient à construire un univers unique et façonné aussi bien pour la lecture de jeunes adolescents que des adultes attentifs. La fantaisie est alors amenée par les sinistres drames qui ont frappé l’Angleterre pendant la Seconde Guerre Mondiale. Quatre enfants, deux frères et deux sœurs, constituent tout le point central du récit les menant au royaume de Narnia. La notion que cette guerre insuffle à leur vie d’enfant est tout aussi merveilleux que l’univers qu’ils vont chacun appréhender à leur manière. Tous humains, ils sont dotés de la sincérité, et courage et de l’amour pour leur famille. Chacun représente le fragment d’une seule pièce qui les rendra inséparables par la suite. Mais si fragment il y a, déchirement familial il y a. Ces derniers traverseront un océan de danger qui les mettront à l’épreuve. Tout d’abord, on insiste sur leur faiblesse car on ne le connait pas plus que leur nom et leur goût pour les sucreries. Un enfant prétend au bout d’un moment à revendiquer sa maturité et sa responsabilité. Elle nait d’une sagesse qu’il doit trouver dans une pureté de l’âme. Voilà on l’on souhaite en venir. Le cœur d’un enfant est déviant et prendre soin de son prochain, tout comme de soi-même est une nécessité pour satisfaire chacune de ces transitions. Le roman, tout comme le film, le raconte avec justesse. Si l’on bascule dans le côté créatif, l’univers de Narnia est ambitieux car propose pas moins de 23 espèces différentes. Une diversité q
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tomtom le gamer 01/04/2019
La critique littéraire est l'étude, la discussion, l'évaluation et l'interprétation de la littérature. Elle peut prendre la forme d'un discours théorique s'appuyant sur la théorie de la littérature ou bien d'un discours plus circonstancié, de présentation ou de compte rendu d'une œuvre littéraire (souvent sous une forme journalistique lors de sa parution). Ces deux acceptions ne sont pas diamétralement opposées bien que la seconde se distingue par le jugement qu'elle porte sur les œuvres étudiées. Sommaire 1 Histoire 2 Types de critique 3 Notes et références 4 Voir aussi 4.1 Articles connexes 4.2 Liens externes 4.3 Bibliographie 4.3.1 Ouvrages généraux 4.3.2 Revues Histoire Aristote passe pour l’initiateur de la critique littéraire, selon le Discours LIII de Dion de Pruse1. L'académicien Félicien Marceau considère que le pastiche est la forme supérieure de la critique littéraire, ce qui peut parfaitement se concevoir si l'on pense à la notion d'imitation chère aux anciens[réf. souhaitée]. Types de critique Les critiques, traditionnellement publiés via des journaux ou des magazines, se développent de plus en plus par le biais du Web, notamment avec la plateforme de vidéos YouTube. Notes et références ↑ Pellegrin 2014, p. 2824 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia : Critique littéraire, sur Wikisource Articles connexes Nouvelle critique (littérature) New criticism Critique arabe classique Critique d'art Northrop Frye Thème (littérature) Théorie critique Liens externes Notices d'autorité : Bibliothèque nationale de France (données)Bibliothèque du CongrèsGemeinsame NormdateiBibliothèque nationale d’Espagne (fr) Critiques de livres d'Histoire [archive] Bibliographie Ouvrages généraux Document utilisé pour la rédaction de l’article : Cet article est en partie tiré de ces sources : Pierre Pellegrin (dir.), Aristote : Œuvres complètes, Éditions Flammarion, 2014, 2923 p. (ISBN 978-2081273160) Bruno Vercier, Anne Maurel, La Critique, Hachette Éducations, 1994. Le
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